novembre 28, 2024
- Paris
A la veille d’une décision de justice que doit rendre le Tribunal de Grande Instance de Nanterre quant à l’avenir des salariés Vélib’, deux articles de presse appellent de JCDecaux les commentaires suivants :
Les représentants du personnel Vélib’ demandent au juge le transfert de plein droit de leur contrat de travail en vertu de l’article L1224-1 du code du travail.
Dans un grand quotidien du soir, le président du nouvel opérateur affirme de manière péremptoire – alors que cette interprétation revient uniquement au juge – que l’article L1224-1 ne s’applique pas et pose un ultimatum aux salariés.
Rien ne devrait pourtant pouvoir empêcher les 267 salariés Vélib’, formés, expérimentés et motivés, de continuer leur activité au service des usagers de Vélib’ alors que le nouvel opérateur annonce un plan de plus de 300 recrutements. Leur expérience représente une valeur ajoutée sans équivalent pour le nouvel opérateur.
Concomitamment, un grand quotidien économique publie un article intitulé "Vélib', la fin d'un cycle", se prétendant être une enquête alors que JCDecaux n'a jamais été contacté pour confirmer ou infirmer les données qu'elle colporte.
Cet article s'appuie sur un rapport à charge rédigé en 2015. Ses rédacteurs n’ont jamais auditionné JCDecaux qui n’a pas même pu bénéficier de la procédure contradictoire habituelle contrairement aux usages et à la réglementation.
D’où les 80 erreurs grossières sur seulement 65 pages de ce rapport qui n’a donc aucune valeur pour évaluer la qualité et la pertinence du service apporté par Vélib'. Sa fuite dans la presse en pleine procédure de l’appel d’offres Vélib' pose, par ailleurs, question.
Parmi les affirmations fausses, erreurs et contre-vérités de ce rapport reprises dans cet article, peuvent être relevées, entre autres,… :
A contrario, l’article ne cite aucun élément factuel démontrant les remarquables performances de Vélib'. Celles-ci sont pourtant nombreuses et publiques avec près de 300 000 abonnés, plus de 341 millions de trajets réalisés depuis 2007, un taux de satisfaction record pour 91% des utilisateurs, l'élection 3 années consécutives comme Service Client de l’année du Centre de relation Client…
Au-delà de l'orchestration de cette campagne de presse, JCDecaux rappelle le succès mondialement reconnu de Vélib’, construit pendant 10 ans avec la Ville de Paris et obtenu notamment grâce à ses équipes qui méritent de poursuivre de façon pérenne leur engagement au service de ses utilisateurs.
Les représentants du personnel Vélib’ demandent au juge le transfert de plein droit de leur contrat de travail en vertu de l’article L1224-1 du code du travail.
Dans un grand quotidien du soir, le président du nouvel opérateur affirme de manière péremptoire – alors que cette interprétation revient uniquement au juge – que l’article L1224-1 ne s’applique pas et pose un ultimatum aux salariés.
Rien ne devrait pourtant pouvoir empêcher les 267 salariés Vélib’, formés, expérimentés et motivés, de continuer leur activité au service des usagers de Vélib’ alors que le nouvel opérateur annonce un plan de plus de 300 recrutements. Leur expérience représente une valeur ajoutée sans équivalent pour le nouvel opérateur.
Concomitamment, un grand quotidien économique publie un article intitulé "Vélib', la fin d'un cycle", se prétendant être une enquête alors que JCDecaux n'a jamais été contacté pour confirmer ou infirmer les données qu'elle colporte.
Cet article s'appuie sur un rapport à charge rédigé en 2015. Ses rédacteurs n’ont jamais auditionné JCDecaux qui n’a pas même pu bénéficier de la procédure contradictoire habituelle contrairement aux usages et à la réglementation.
D’où les 80 erreurs grossières sur seulement 65 pages de ce rapport qui n’a donc aucune valeur pour évaluer la qualité et la pertinence du service apporté par Vélib'. Sa fuite dans la presse en pleine procédure de l’appel d’offres Vélib' pose, par ailleurs, question.
Parmi les affirmations fausses, erreurs et contre-vérités de ce rapport reprises dans cet article, peuvent être relevées, entre autres,… :
- L'accusation d'opacité du système actuel. La Ville de Paris est co-propriétaire de toutes les données sur Vélib’. Elle dispose de tous les outils informatiques d’analyse et de tableaux de bord journaliers qui lui permettent d’évaluer finement la qualité du service sur une batterie d’indicateurs quantitatifs, renforcés par des audits terrain réalisés par ses agents toutes les semaines. La transparence est donc absolue tant au niveau technique qu’économique grâce aux états financiers remis régulièrement à la Ville de Paris et certifiés par les commissaires aux comptes.
- L'accusation d'un marché en défaveur de la Ville. Le contrat Vélib’ n’a jamais coûté un centime à la Ville de Paris qui a toujours été bénéficiaire grâce au financement par la publicité et les recettes d’usages liées au succès de Vélib’. Pour ne citer que les trois derniers exercices, le bilan du contrat est bénéficiaire pour la Ville de 4,1 M€ en 2014, 5,5 M€ en 2015 et 4,3M€ en 2016.
A contrario, l’article ne cite aucun élément factuel démontrant les remarquables performances de Vélib'. Celles-ci sont pourtant nombreuses et publiques avec près de 300 000 abonnés, plus de 341 millions de trajets réalisés depuis 2007, un taux de satisfaction record pour 91% des utilisateurs, l'élection 3 années consécutives comme Service Client de l’année du Centre de relation Client…
Au-delà de l'orchestration de cette campagne de presse, JCDecaux rappelle le succès mondialement reconnu de Vélib’, construit pendant 10 ans avec la Ville de Paris et obtenu notamment grâce à ses équipes qui méritent de poursuivre de façon pérenne leur engagement au service de ses utilisateurs.